Totalement sous l’emprise de Maîtresse Angelik après ma première fois

Je suis entré pour la première fois dans le donjon de Maîtresse Angelik non sans une certaine angoisse ne sachant trop à quoi m’attendre.
La maîtresse des lieux m’accueillit de manière conviviale avec une certaine autorité dans la voix.

Elle était entièrement vêtue d’une tenue de latex noir, ce qui mettait en valeur les courbes de son corps parfait.
Elle m’habilla d’une tenue de latex noire, la session pouvait commencer.
Elle m’ordonna de me mettre à genoux et d’enduire son corps d’huile afin de lustrer sa tenue, je ne m’attendais pas à ce qu’elle me permette de poser ainsi les mains sur ce corps que je m’imaginais inaccessible, la sensation de ses formes à travers la matière commença à réveiller mes sens, je ralentissais le plus possible le mouvement de mes mains pour savourer chaque seconde, je me doutais, cependant, qu’elle allait me faire payer cette outrecuidance.
Elle m’attacha sur une croix de Saint André, me banda les yeux et se mit à lustrer mon corps à son tour, cela ne fit qu’accentuer cette sensation de plus en plus difficile à cacher.
La maîtresse était outrée, elle me gifla, exerça des pression douloureuse sur des parties de mon corps et m’adressa de sévères remontrances.
Elle me détacha de ma croix et m’ordonna de me mettre à quatre patte sur le sol.
– « Ton impétuosité mérite une punition sale chienne ! »
Elle m’administra une fessée d’un geste précis à l’aide de ses mains fermes je courbais le dos le plus possible afin de recevoir cette punition sévère mais juste.

Elle pratiqua une ouverture située sur mes fesses et à mon entre-jambe ce qui lui révéla toutes mes parties intimes.
Elle attacha mes testicules à l’aide d’une corde.
– « Si tu ne fais pas tout ce que je te dis, je te les arracherai, c’est compris ? »
– « Oui Maîtresse. »
Je sentis une sensation froide et pénétrante au niveau de mon anus, la maîtresse était en train d’introduire ses doigts.
– « Eh bien il est très étroit ce petit cul, il va falloir y remédier ! »
Je sentais ses va et viens qu’elle exerça sur moi à l’aide d’un doigt, puis de deux. La douleur que je ressentais se mêlait au plaisir, ne sachant vraiment laquelle des sensations était la plus forte.
Elle introduisit en moi un plug anal, il était doté d’une fonction vibrante, les vibrations s’étendaient à tout mon corps, cela me surpris.
– « Tu as interdiction de le faire tomber c’est compris ? »

Elle m’ordonna de me mettre à genou et d’embrasser les partie de son corps qu’elle me présentait, je tentais de m’appliquer tant bien que mal mais la position était inconfortable et le plug tomba à terre.
– « Maîtresse, je… je suis désolé, il est tombé au sol… »
– « Petit insolent, cela mérite une autre fessée! »
Cette fois la maîtresse s’empara d’un martinet et d’une baguette en bois, elle m’administra ses coups tour à tour et de plus en plus forts à l’aide de ses instruments.
Je sentais mon cœur battre à tout rompre tandis que je subissais les tourments de Maîtresse Angelik.

Elle s’assit sur une chaise me fit m’allonger sur ses genoux, m’administra une dernière fessée et ré-introduisit le plug en moi.
– « Cette fois tu as intérêt à le garder ! »
Je maintenais le plug à l’aide de ma main afin de ne plus jamais le perdre.
Elle me fit me remettre à genoux au sol, se tenait debout devant moi et m’ordonna à nouveau d’embrasser son corps.
Je laissais aller ma bouche, mes lèvres et ma langue tant l’instant était divin, je souhaitais que cela ne s’arrête jamais.
Cela pris fin cependant, la maîtresse me bâillonna la bouche, j’étais désormais privé de la parole et du droit d’embrasser ce corps magnifique.
Elle m’ordonna de rester à genoux.

Elle se saisit d’un vibrateur qu’elle passa lentement sur mon pénis en érection.
La sensation était intenable mon corps était agité des vibrations des appareils de Maîtresse Angelik, une larme coula de mon œil tandis que des gouttes de spermes perlaient de ma verge et que je gémissais à travers le bâillon.
La Maîtresse semblait amusée par ce spectacle.

Le tourment dura encore de longue minutes et puis ce fut la délivrance.
Tandis que mon fluide s’échappait à gros jets de mon corps, je revenais petit à petit de cette transe dans laquelle m’avait plongé ma Maîtresse.

Déjà deux heures et demi se sont écoulées ?
Comment est ce possible ?
Je me rhabillais encore confus.
La Maîtresse pris congé de moi.

J’arpentais les rues de Paris l’esprit hanté par ce que je venais de vivre.
Ce souvenir me hante encore aujourd’hui.
Je reviendrais un jour, il le fallait.
J’étais désormais totalement sous l’emprise de Maîtresse Angelik.

Un soumis.

Témoignage d’un esclave fétichiste des talons hauts et pieds

A la terrasse d’un café

Le passe-temps favori des fétichistes du pied, est de s’arrêter, après une longue journée de travail à la terrasse d’un café, afin de se délasser l’esprit.

Un spectacle attire l’œil et permet de rêver. Une fille retire ses escarpins sous sa chaise, et tout change, la fatigue devient pulsion de vie, l’ennui devient émotion. Les pensées s’agitent, stimulent l’appétit sexuel, excitent la libido …

Je reste alors en alerte, et observe, évitant tous les obstacles dans mon champ visuel – chaises, clients, sac à mains, bouteilles – qui pourraient cacher cette scène des plus excitantes.

Je positionne ma chaise pour assister au spectacle, ou change même de table en choisissant une toute proche de la sienne, juste derrière et en biais, pour mieux voir ses semelles et la plante de ses pieds. Elle pose le pied droit sur sa cheville gauche, et fait glisser sa chaussure droite sur le sol, laissant apparaître toute la beauté de ses courbes plantaires, puis elle se rechausse, joint les deux chaussures en les faisant claquer sur le sol, puis les enlèvent à nouveau toutes les deux …

Tous les détails comptent, et tous les mouvements procurent du plaisir, tout est caresse et sensibilité. Les pieds caressent les chaussures qui caressent les pieds, tout est émotion difficile à maîtriser, à tel point qu’aujourd’hui je ne cherche plus à la maîtriser mais je cherche au contraire à me laisser porter par elle.

J’apprends à accepter mes pulsions fétichistes, à vivre avec elles et grâce à elles, à apprécier le plaisir qu’elles me procurent, à les aimer.

Lorsque les pieds sont nus dans les chaussures, et que l’une d’elles glisse légèrement, elle laisse alors entrevoir le talon.

Si jamais le talon est garni de corne, ou si les pieds sont légèrement sales ou noircis par la poussière, l’émotion sera plus forte encore car je m’imagine recruté comme esclave laveur de pieds ou pédicure, à genoux au pied de la chaise de cette créature de rêve. Cette saleté sera peut-être pour moi, je pourrais peut-être la goûter, c’est bon, c’est un peu salé, et j’ai envie d’y passer ma langue…

Malgré l’apparence repoussante du pied sale, et toute l’image négative de la soumission que nous suggère la raison, j’éprouve une attirance irrésistible vers un bonheur esclave en me soumettant aux pieds d’une beauté supérieure …

Maîtresse Angelik le sait, et me permet parfois d’occuper la place qui est la mienne, ma tête sous ses pieds, retenu par une laisse et un collier de chien, en échange d’une fidélité absolue. Seuls ses pieds sont vénérés. Toute infraction à cette règle sera punie par son dédain.

Le fouet représente plutôt une récompense, et la seule punition est son indifférence.

Témoignage d’un esclave de Maîtresse Angelik

Aurélia, fidèle adepte des fessées de Maîtresse Angelik

Je m’appelle Aurélia, la cinquantaine plutôt garce, bien conservée : j’aime la fessée sous toutes ces formes.

Virtuose en son art, la sublime Maîtresse Angelik est la seule à savoir faire rougir mes fesses en toute confiance, en toute sévérité aussi. Reine du BDSM, elle pénètre mon âme d’un regard en séance. Pour celles-ci , sous mes vêtements, je me présente à elle en fine culotte dentelle de satin noire, agrémentée de bas foncés tenus par un porte jarretelle classique (pas ceux que je porte au bureau, des particuliers pour elle), une guêpière, des talons hauts, des gants de satin noirs, montants aux avant-bras.

Maitresse Angelik restant debout, elle me fit asseoir. Nous échangeâmes rapidement ensemble sur le thème de la séance à venir. Lui ayant avoué de nouveaux fantasmes (et péchés), elle commença par me faire lever puis dévêtir, m’ordonna de me mettre à genoux devant elle en me couchant à plat ventre sur son tabouret, bras reposant au sol, ne gardant sur moi que mes dessous affriolants et guêpière au seins nues.

Lentement, elle baissa ma petite culotte noire au bas de mes cuisses, mettant mes fesses à nues. De ses belles mains fines et expertes, elle débuta par de délicieuses petites claques sur chaque partie de mon anatomie rebondie pendant cinq bonnes minutes en alternant avec des caresses : que ce fut bon !

Je cambrais mes fesses du mieux que le pus, avec cette honte de me retrouver ainsi nue et en même temps, ressentir ce plaisir fulgurant m’envahir déjà, au fur et à mesure que ses mains semblaient prendre possession de la chute de mes reins. Le plus gênant étant qu’elle pouvait voir culotte baissée, ce que j’ai de plus secret : mon intimité déjà rendue humide, après ses adorables petites claques expertes (qui laissèrent présager aussi, une redoutable fessée à venir) :

Ma petite Aurélia, ce n’est que le ‘hors d’œuvre’ tu le sais, me dit Maitresse Angelik, d’un ton espiègle … ?
Entre femmes dominante et dominée, les choses devinrent plus sérieuses. Autoritaire, elle m’ordonna de me relever puis, désignant ce qui ressemblait à une croix de St André, elle me menotta bras en l’air, pris dans sa main un de ses fouet constitué de multiples et longues lanières de cuirs noirs au bout d’un long manche, le plaça bien en évidence devant moi.

Ta Maîtresse va commencer par te chauffer ton petit derrière de jouisseuse ma petite Aurelia, avant de te fouetter vraiment, comme tu le mérites !
Calme, armée de son joli sourire, Maîtresse Angelik réajusta au plus bas de mes cuisses, ma petite culotte noire à travers mon porte jarretelle, les fesses nues et mieux offertes ainsi à son autorité. Elle se recula, se mit en position, un long frisson me parcouru de la tête aux pieds …

Un sifflement, puis un deuxième, puis un troisième, un quatrième plus rapide, puis cinq, dix, vingt, trente coups suivirent, cinglant mes fesses, entrecoupés de brefs répits … je ne pensais plus à rien d’autre que ces lanières de cuirs qui déferlaient sur mon derrière : la fessée commençait … vraiment !

Maîtresse Angelik arrivait malgré moi, à faire basculer mes hanches de gauche à droite avec son fouet : plus mes fesses bougeaient, plus les lanières de cuir semblaient pleuvoir dessus. Ne voulant pas faire de jalouses, Maîtresse Angelik rapide et précise, passait tantôt à droite, tantôt à gauche, les fouettant presque sans retenue (tout en contrôlant toujours, le degré de sévérité infligé).

Ah, tu aimes les remuer tes petites fesses devant ta Maîtresse, hein Aurélia ? Remue les mieux encore, cela ne me suffit pas : je veux les voir bouger. Cambre les mieux que cela !
Ce n’était plus la douce Maîtresse Angelik qui me reçue il y a quelques minutes, c’était maintenant la vraie dominatrice dans toute sa splendeur, érotique, sévère, autoritaire (attentive, aux réactions de sa soumise).

Elle changea ensuite de fouet, en choisit un moins souple aux lanières plus dures, et continua de me punir, appuyant un peu plus encore, son geste de fesseuse experte qu’elle répéta vingt fois. Je l’implorai d’un regard, d’une pause, ne souhaitant plus bouger mes hanches, fesses brûlantes.

Elle s’interrompit alors, puis m’interrogea avec gentillesse :

Comment ça va ma petite maintenant, tu sais que tes petites fesses sont déjà bien rouges. Je peux arrêter, mais je serais plus sévère encore si je dois continuer, tu le devines n’est-ce pas ?
Toujours attachée, j’appréciais sa question, rassurante et troublante à la fois. Quand bien même si mes fesses étaient déjà bouillantes, je craignais aussi sa sévérité (et en même temps, la désirais peut-être, au fond de moi ?)

Pour le savoir, il fallut sauter le pas, aller « Au-delà »

D’un regard, Maitresse Angelik le comprit dans le mien et sans un mot, à la vitesse d’une chatte, elle posa son fouet, l’échangea contre une fine et redoutable canne anglaise puis, la fit siffler en l’air :

Tu vois Aurélia, aujourd’hui, je comprends que tu dois être bien mieux corrigée que d’habitude, je t’aurais prévenue, tu le savais : je te donne un mot clé de délivrance, au cas où … ?
La sensation cinglante du premier coup de badine me fit tressaillir, rentrer mes fesses, écarter mes cuisses, rentrer mon dos, devinant déjà une jolie marque rouge foncée par-dessus mes récentes rougeurs. Maîtresse Angelik me fit compter : Un, puis Deux …, sans entendre en alternance mes ‘Oh’ … et mes Ah …’ (à la façon Mylène Farmer, dans sa chanson : « … mes petites fesses ne cessent de t’inspirer … »). Trois sifflements, puis Quatre, augmentant toujours un peu la force de ses coups, comptant jusqu’à Quatorze interminables et cinglants coups de cannes puis, je me trompais en comptant : Vingt !

Maîtresse Angelik ne laissa pas passer cette regrettable erreur de ma part :

Comme c’est dommage Aurélia, tu ne suis pas ! Je recommence à zéro avec une nouvelle quinzaine pour t’apprendre, inutile de me demander pardon : tu comptes de nouveau ?
Un, puis Deux, Trois (ce fut plus difficile de ressortir mes fesses endolories cette fois), Quatre, Cinq, Six …

Remue-les et tends les mieux, Aurélia !
Oui Maitresse …
Qui ?
Angelik.
Sept, Huit, Neuf, (cela brûle terriblement …), Dix, Onze … Douze (je les tends bien moins …), Treize, Quatorze Quinze, Ouf … Seize (?)

Mais oui Aurélia, Seize, pour voir si tu me suis bien cette fois !
Il y dû y en avoir maintenant, de nombreuses marques foncées sur mon postérieur. Maitresse Angelik reposa enfin, sa terrible canne.

Je ne vais pas les fouetter jusqu’à sang, tes petites fesses de garce ma petite, elles sont déjà bien marquées dans cette couleur ‘Technicolor rouge/bleu foncée’ : mais cela ne te semble guère suffisant, n’est-ce pas ?
Je ne répondis plus, la tête en feu, mes fesses brûlantes, plus que soumise (tentant aussi, de lui cacher avec une grande honte, que je mouillais comme une folle, mes seins dressées). Elle s’en aperçu, pinça mes mamelons, puis essuya ensuite mon entre jambe délicatement avec un kleenex. Par ce geste salutaire, elle me rappela qu’elle contrôle Tout en séance (Merci, Maîtresse Angelik)

Elle délassa ensuite ma guêpière, mis mon dos à nu, réajusta de nouveau ma petite culotte vers le bas, écarta cette fois mes portes jarretelles, puis pinça une nouvelle fois ces mamelons devenus durs … à en être damnée (de plaisir …)

Plus belle que jamais, elle prit un troisième fouet, à une seule lanière cette fois, se recula loin de moi puis commença sans un mot à me fouetter, alternant sur dos et fesses doucement tout d’abord, puis plus fort, sa redoutable lanière de cuir. Elle me demanda après des séries de Cinq à Six coups, si ce n’était pas trop fort pour moi. Je me retournais, la regardais ne lui répondit pas étrangement. Alors, elle continua …

Quelle sensation à la fois cinglante, de douleur (presque ‘positive’, bien différente de celle consistant à ‘faire mal’), de plaisir mystérieux aussi, lorsque cela est si bien fait. Je ne le prononcerais pas ce mot clé, elle continua toujours, imperturbable, augmentant la cadence et la fermeté de ses coups, j’écartais mes cuisses, mes bras, rentrais de plus en plus mes fesses, Maîtresse Angelik faisant maintenant, danser tout mon corps avec son fouet.

Enfin, elle mit fin à ma ‘punition’ (du moins, le pensais-je …), reposa le redoutable instrument, me délia, me fit mettre à terre, joue contre sol, fesses en l’air.

Actu mars 2015 punition fesses

Enserrant alors fermement mes hanches entre ses jambes, Maîtresse Angelik reprit sa redoutable canne anglaise posée sur le tabouret ‘de soumise’, corrigea chacune de mes fesses encore 15 fois : elles devinrent écarlates, ne furent plus du tout en l’air peu après ce dernier traitement infligé, ne remuèrent plus, devinrent enfin entièrement soumises, implorantes, bien moins provocantes …

Elle s’arrêta, m’ordonna de me mettre debout, sourit et s’assit devant moi :

Ça va mieux maintenant, ma petite Aurélia ?
Oui Maitresse Angelik.
Tu sais que je pouvais arrêter ou être moins sévère : tu as été plus ‘maso’ que les fois précédentes, non ?
Sans doute Maitresse, vous m’avez bien fessée cependant …
Merci Aurélia, mets-toi à genoux maintenant, devant ta maîtresse : tu es toute mouillée je vois … ?
Oui Maitresse, merci Maitresse Angelik, d’être compréhensive.
Inoubliable Maîtresse Angelik …
Aurelia

Mise en cage par une sublime dominatrice Parisienne

Maîtresse Angelik m’avait donné rendez-vous dimanche après midi à 16h45 pour lui remettre les clefs de ma cage de chasteté.

Je m’étais préparé 2 heures à l’avance en prenant une douche et en mettant la cage.
L’heure du rendez-vou approchant j’ai ressenti une angoisse monter car je savais parfaitement qu’une fois la clef remise à Maitresse Angelik je ne pourrai plus revenir en arrière et me toucher jusqu’au prochain rendez-vou.

Maîtresse Angelik m’avait communiqué les instructions pour la rencontrer.
J’ai donc suivi ces instructions en frappant doucement à la Porte, Maîtresse Angelik ouvrit délicatement la porte et me fit ordre de me mettre à genoux.
Le premier regard m’a tout de suite montré ma position de larbin à sa disposition.

Maîtresse Angelik est très belle, inaccessible pour un soumis.
Elle m’a demandé de me déshabiller, mon sexe était enfermé dans cette cage trop petite faisant apparaître mes testicules. Je me sentais à son entière disposition tel un animal maltraité dont personne n’accepterai cette situation sur un animal.

J’ai remis la clef à Maitresse qui a décidé de me convoquer le lendemain à 17 h pour me libérer de cette cage de torture. Je pensais au départ être convoqué le matin pour être libéré.
Maîtresse m’a autorisé à embrasser ses divins pieds ce dont je fis avec passion, puis m’a mis un collier et une laisse et m’a ordonné de me mettre à 4 pattes laissant apparaître mes testicules enfermées par l’anneau de la cage, elle a commencé à jouer avec ses pieds en me disant que mes testicules seront maltraitées lors de la prochaine séance.

Puis sans demander l’accord, je me suis permis de baiser un pied de Maitresse, la sanction fu sévère par 10 coups de canne sur les fesses dont je garde toujours des marques, j’ai remercié Maîtresse pour cette punition qui m’a permis de me montrer ma place d’esclave.

Maîtresse m’a enlevé le collier en étant debout avec une vue plongeante sur sa poitrine généreuse que je ne pourrai malheureusement jamais toucher.
La suite au prochain RDV de dressage.

Bien à vous Maitresse

Soumis en cage maitresse angelik 2021 domina paris

Une petite pute salope au service de Maîtresse Angelik

Je suis là couché à plat ventre aux pieds de Maitresse Angelik;
Son talon aiguille enfoncé dans ma bouche vide couilles, mes tétons prisonniers de pinces , dans cette position me font terriblement souffrir.
Sa position, les jambes croisées, gainées de bas nylon à coutures, me laisse entrevoir son string , et une partie de son intimité.
Malgré la souffrance, je suis prise d’une violente pulsion sexuelle réprimée par la cage de chasteté qui emprisonne ma verge.
Il ne faut pas que j’espère, je le sais, avoir un jour accès a ce plaisir.
Je ne suis qu’une petite pute salope au service de Ma Maîtresse, j’ai du m’y résoudre.

Véritable Maîtresse, une dominatrice si belle, pour elle je me suis offerte corps et âme. Elle a eu sur moi un pouvoir absolu, et m’a enseigné, les grands principes de l’esclavage, et fait mon éducation.
Cette Maîtresse, femme de qualités.

Aux pieds de maitresse angelik recit

Le miracle est enfin arrivé, de clic en clic , j’ai accédé une nuit sans sommeil, au site de Maîtresse Angelik, et depuis je suis attachée a elle avec passion et humilité.
Tremblant de stress, je me suis présenté a la porte de son donjon, j’ai alors vu devant moi une princesse gainée de vinyle perchée sur des talons aiguilles, un visage sublime, un regard fascinant, bien plus belle encore que sur ses superbes photos

Après le baise main de rigueur , j’ai découvert un donjon extraordinaire, décoré avec goût et délicatesse.
Alors j’ai su immédiatement que ce serait ma seconde maison, sachant déjà que ce sera pour moi, parfois un enfer, vite transformé en paradis.
Voici comment aujourd’hui, je me suis retrouvé au pied de Ma Maîtresse.

Maîtresse Angelik, Dominatrice vénérée, m’a fait comprendre immédiatement que je devais pour la mériter, être recadrée, remise à niveau, et au fur et à mesure des séances, j’espère parvenir a devenir un esclave devant devenir une parfaite petite pute offerte a tous vents, une soubrette sans égale, un valet chauffeur parfait et ponctuel.

Ester.

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Sur ce site vous pouvez découvrir mon Actualité avec les dates de mon agenda Parisien, les Récits de mes sessions écrits par mes soumis, mes Galeries Photos ( Fétichismes & Domination ), mes Fantasmes & Pratiques, mes Vidéos et bien plus. Provocantes et transgressives, votre Maîtresse Angelik, Dominatrice sur Paris, explorera les recoins les plus sombres de votre psyché humaine. Mon site web dépeint Mon univers BDSM, imprégné de désir, de plaisir mêlées de douleur, de pouvoir, le mien et de soumission, la votre. Comme le Marquis de Sade a laissé une empreinte indélébile sur la littérature BDSM, je laisserais ma marque sur votre corps et dans votre esprit.