Aurélia, fidèle adepte des fessées de Maîtresse Angelik

Je m’appelle Aurélia, la cinquantaine plutôt garce, bien conservée : j’aime la fessée sous toutes ces formes.

Virtuose en son art, la sublime Maîtresse Angelik est la seule à savoir faire rougir mes fesses en toute confiance, en toute sévérité aussi. Reine du BDSM, elle pénètre mon âme d’un regard en séance. Pour celles-ci , sous mes vêtements, je me présente à elle en fine culotte dentelle de satin noire, agrémentée de bas foncés tenus par un porte jarretelle classique (pas ceux que je porte au bureau, des particuliers pour elle), une guêpière, des talons hauts, des gants de satin noirs, montants aux avant-bras.

Maitresse Angelik restant debout, elle me fit asseoir. Nous échangeâmes rapidement ensemble sur le thème de la séance à venir. Lui ayant avoué de nouveaux fantasmes (et péchés), elle commença par me faire lever puis dévêtir, m’ordonna de me mettre à genoux devant elle en me couchant à plat ventre sur son tabouret, bras reposant au sol, ne gardant sur moi que mes dessous affriolants et guêpière au seins nues.

Lentement, elle baissa ma petite culotte noire au bas de mes cuisses, mettant mes fesses à nues. De ses belles mains fines et expertes, elle débuta par de délicieuses petites claques sur chaque partie de mon anatomie rebondie pendant cinq bonnes minutes en alternant avec des caresses : que ce fut bon !

Je cambrais mes fesses du mieux que le pus, avec cette honte de me retrouver ainsi nue et en même temps, ressentir ce plaisir fulgurant m’envahir déjà, au fur et à mesure que ses mains semblaient prendre possession de la chute de mes reins. Le plus gênant étant qu’elle pouvait voir culotte baissée, ce que j’ai de plus secret : mon intimité déjà rendue humide, après ses adorables petites claques expertes (qui laissèrent présager aussi, une redoutable fessée à venir) :

Ma petite Aurélia, ce n’est que le ‘hors d’œuvre’ tu le sais, me dit Maitresse Angelik, d’un ton espiègle … ?
Entre femmes dominante et dominée, les choses devinrent plus sérieuses. Autoritaire, elle m’ordonna de me relever puis, désignant ce qui ressemblait à une croix de St André, elle me menotta bras en l’air, pris dans sa main un de ses fouet constitué de multiples et longues lanières de cuirs noirs au bout d’un long manche, le plaça bien en évidence devant moi.

Ta Maîtresse va commencer par te chauffer ton petit derrière de jouisseuse ma petite Aurelia, avant de te fouetter vraiment, comme tu le mérites !
Calme, armée de son joli sourire, Maîtresse Angelik réajusta au plus bas de mes cuisses, ma petite culotte noire à travers mon porte jarretelle, les fesses nues et mieux offertes ainsi à son autorité. Elle se recula, se mit en position, un long frisson me parcouru de la tête aux pieds …

Un sifflement, puis un deuxième, puis un troisième, un quatrième plus rapide, puis cinq, dix, vingt, trente coups suivirent, cinglant mes fesses, entrecoupés de brefs répits … je ne pensais plus à rien d’autre que ces lanières de cuirs qui déferlaient sur mon derrière : la fessée commençait … vraiment !

Maîtresse Angelik arrivait malgré moi, à faire basculer mes hanches de gauche à droite avec son fouet : plus mes fesses bougeaient, plus les lanières de cuir semblaient pleuvoir dessus. Ne voulant pas faire de jalouses, Maîtresse Angelik rapide et précise, passait tantôt à droite, tantôt à gauche, les fouettant presque sans retenue (tout en contrôlant toujours, le degré de sévérité infligé).

Ah, tu aimes les remuer tes petites fesses devant ta Maîtresse, hein Aurélia ? Remue les mieux encore, cela ne me suffit pas : je veux les voir bouger. Cambre les mieux que cela !
Ce n’était plus la douce Maîtresse Angelik qui me reçue il y a quelques minutes, c’était maintenant la vraie dominatrice dans toute sa splendeur, érotique, sévère, autoritaire (attentive, aux réactions de sa soumise).

Elle changea ensuite de fouet, en choisit un moins souple aux lanières plus dures, et continua de me punir, appuyant un peu plus encore, son geste de fesseuse experte qu’elle répéta vingt fois. Je l’implorai d’un regard, d’une pause, ne souhaitant plus bouger mes hanches, fesses brûlantes.

Elle s’interrompit alors, puis m’interrogea avec gentillesse :

Comment ça va ma petite maintenant, tu sais que tes petites fesses sont déjà bien rouges. Je peux arrêter, mais je serais plus sévère encore si je dois continuer, tu le devines n’est-ce pas ?
Toujours attachée, j’appréciais sa question, rassurante et troublante à la fois. Quand bien même si mes fesses étaient déjà bouillantes, je craignais aussi sa sévérité (et en même temps, la désirais peut-être, au fond de moi ?)

Pour le savoir, il fallut sauter le pas, aller « Au-delà »

D’un regard, Maitresse Angelik le comprit dans le mien et sans un mot, à la vitesse d’une chatte, elle posa son fouet, l’échangea contre une fine et redoutable canne anglaise puis, la fit siffler en l’air :

Tu vois Aurélia, aujourd’hui, je comprends que tu dois être bien mieux corrigée que d’habitude, je t’aurais prévenue, tu le savais : je te donne un mot clé de délivrance, au cas où … ?
La sensation cinglante du premier coup de badine me fit tressaillir, rentrer mes fesses, écarter mes cuisses, rentrer mon dos, devinant déjà une jolie marque rouge foncée par-dessus mes récentes rougeurs. Maîtresse Angelik me fit compter : Un, puis Deux …, sans entendre en alternance mes ‘Oh’ … et mes Ah …’ (à la façon Mylène Farmer, dans sa chanson : « … mes petites fesses ne cessent de t’inspirer … »). Trois sifflements, puis Quatre, augmentant toujours un peu la force de ses coups, comptant jusqu’à Quatorze interminables et cinglants coups de cannes puis, je me trompais en comptant : Vingt !

Maîtresse Angelik ne laissa pas passer cette regrettable erreur de ma part :

Comme c’est dommage Aurélia, tu ne suis pas ! Je recommence à zéro avec une nouvelle quinzaine pour t’apprendre, inutile de me demander pardon : tu comptes de nouveau ?
Un, puis Deux, Trois (ce fut plus difficile de ressortir mes fesses endolories cette fois), Quatre, Cinq, Six …

Remue-les et tends les mieux, Aurélia !
Oui Maitresse …
Qui ?
Angelik.
Sept, Huit, Neuf, (cela brûle terriblement …), Dix, Onze … Douze (je les tends bien moins …), Treize, Quatorze Quinze, Ouf … Seize (?)

Mais oui Aurélia, Seize, pour voir si tu me suis bien cette fois !
Il y dû y en avoir maintenant, de nombreuses marques foncées sur mon postérieur. Maitresse Angelik reposa enfin, sa terrible canne.

Je ne vais pas les fouetter jusqu’à sang, tes petites fesses de garce ma petite, elles sont déjà bien marquées dans cette couleur ‘Technicolor rouge/bleu foncée’ : mais cela ne te semble guère suffisant, n’est-ce pas ?
Je ne répondis plus, la tête en feu, mes fesses brûlantes, plus que soumise (tentant aussi, de lui cacher avec une grande honte, que je mouillais comme une folle, mes seins dressées). Elle s’en aperçu, pinça mes mamelons, puis essuya ensuite mon entre jambe délicatement avec un kleenex. Par ce geste salutaire, elle me rappela qu’elle contrôle Tout en séance (Merci, Maîtresse Angelik)

Elle délassa ensuite ma guêpière, mis mon dos à nu, réajusta de nouveau ma petite culotte vers le bas, écarta cette fois mes portes jarretelles, puis pinça une nouvelle fois ces mamelons devenus durs … à en être damnée (de plaisir …)

Plus belle que jamais, elle prit un troisième fouet, à une seule lanière cette fois, se recula loin de moi puis commença sans un mot à me fouetter, alternant sur dos et fesses doucement tout d’abord, puis plus fort, sa redoutable lanière de cuir. Elle me demanda après des séries de Cinq à Six coups, si ce n’était pas trop fort pour moi. Je me retournais, la regardais ne lui répondit pas étrangement. Alors, elle continua …

Quelle sensation à la fois cinglante, de douleur (presque ‘positive’, bien différente de celle consistant à ‘faire mal’), de plaisir mystérieux aussi, lorsque cela est si bien fait. Je ne le prononcerais pas ce mot clé, elle continua toujours, imperturbable, augmentant la cadence et la fermeté de ses coups, j’écartais mes cuisses, mes bras, rentrais de plus en plus mes fesses, Maîtresse Angelik faisant maintenant, danser tout mon corps avec son fouet.

Enfin, elle mit fin à ma ‘punition’ (du moins, le pensais-je …), reposa le redoutable instrument, me délia, me fit mettre à terre, joue contre sol, fesses en l’air.

Enserrant alors fermement mes hanches entre ses jambes, Maîtresse Angelik reprit sa redoutable canne anglaise posée sur le tabouret ‘de soumise’, corrigea chacune de mes fesses encore 15 fois : elles devinrent écarlates, ne furent plus du tout en l’air peu après ce dernier traitement infligé, ne remuèrent plus, devinrent enfin entièrement soumises, implorantes, bien moins provocantes …

Elle s’arrêta, m’ordonna de me mettre debout, sourit et s’assit devant moi :

Ça va mieux maintenant, ma petite Aurélia ?
Oui Maitresse Angelik.
Tu sais que je pouvais arrêter ou être moins sévère : tu as été plus ‘maso’ que les fois précédentes, non ?
Sans doute Maitresse, vous m’avez bien fessée cependant …
Merci Aurélia, mets-toi à genoux maintenant, devant ta maîtresse : tu es toute mouillée je vois … ?
Oui Maitresse, merci Maitresse Angelik, d’être compréhensive.
Inoubliable Maîtresse Angelik …

Aurelia