Témoignages
La Fessée dans le cadre du BDSM
Dans l’épisode de la fessée, extrait du livre premier des Confessions de Jean-Jacques Rousseau, Il avoue que “cette punition n’allait pas à son but”. Au lieu de produire de l’effroi, la fessée produisait une première jouissance.
Il note que cet épisode a décidé de tout son comportement ultérieur avec l’autre sexe. S’il n’a jamais osé le demander explicitement aux femmes, il a toujours adoré se mettre à leurs pieds, à genoux, dans une position de dévouement et de soumission.
Et nombreux sont les témoignages de la fessée comme source de plaisir autant que de douleur ou d’humiliation.
Cependant, pour faire partie des pratiques du BDSM, la fessée doit être assez longue et vigoureuse et réellement colorer les fesses, et résultera d’un accord entre deux adultes consentants ayant chacun son rôle clairement défini. Elle sera toujours donnée sur les fesses nues, même si elle a démarré avec une culotte ou un string.
Elle peut être donnée dans différentes positions, dont la classique OTK (over the knee), en travers des genoux, dite aussi à l’ancienne ou sur un banc à fessée.
MA a justement équipé son donjon d’un superbe banc qui vous attend pour exposer vos fesses nues à leur très attendue punition.
L’annonce par la Maitresse d’une déculottée fait toujours un effet magique sur le comportement du soumis qui redoute, mais surtout attend cette punition qui est aussi récompense.
La frappe méthodique, ciblée et rythmée sur les fesses de la soumise ou du soumis font que cette « punition » devient recherche, le soumis souhaite que jamais cela ne s’arrête.
De fait plus les fesses sont rougies, plus les nouvelles claques sont indolores.
C’est comme si la fessée, bien que douloureuse, avait un effet anesthésique.
Et à la fin, le sentiment du soumis ou de la soumise est qu’une fessée, surtout manuelle, n’est jamais assez longue ni assez forte.
Bien sûr, outre la main, une fessée peut être administrée avec un martinet, une badine, une ceinture, une cuillère en bois ou une brosse à cheveux, pour ne citer que les instruments les plus courants.
Attention, autant la main ne laissera pas de marques, autant les instruments pourront marquer légèrement ou plus durablement les fesses. (Entre quelques heures et trois jours) selon la force et durée de la correction.
Les sensations et marques laissées par chacun de ces instruments sont très différentes, ainsi alors que la badine cingle et laissera des traces linéaires bien marquées, la cuiller en bois frappe une plus grande zone et laissera plutôt un bleu de forme plus ou moins ronde.
La fessée peut être sensuelle, coquine, ou punitive. Dans le cas d’une fessée coquine, la Maitresse pourra entre les claques immiscer sa main vers les parties génitales du soumis ou de la soumise pour les stimuler, voire accélérer la jouissance avant de la lui refuser.
Grace à sa grande expérience et son expertise, Maitresse Angelik sera attentive aux réactions de son soumis et de sa peau des fesses, elle réduira ou augmentera la force en relation avec ces réactions.
A la fin de votre fessée, une chose est sûre, vous en redemanderez.
Un soumis qui aime les trés grosses fessées …
Je décide de prendre la plume pour conter ma rencontre avec maitresse Angelik. Après des recherches BDSM sur le net, je suis arrivé sur son site et après lecture j’ai cliqué sur contact en me présentant très simplement » homme d’une soixantaine d’années cherche maitresse pour de très grosses fessées ». La réponse ne s’est pas fait attendre, maitresse me fixe la date et le lieu de rdv. Ma tension monte, rien que de penser à l’idée que je serai à la merci de ses mains. Voilà le jour J, je me prépare et rejoint la station de métro indiqué, arrivé sur place très en avance je vais prendre un café fébrilement assis devant le bar rien qu’à l’idée de ce qui m’attend. A l’heure convenu, maitresse m’indique tous les éléments dont j’ai besoin pour la rejoindre, et me voilà rendu dans son donjon. Elle me demande de me mettre nu le plus vite que possible, je m’exécute et rentre dans la pièce ou toute sorte d’instrument trône dans la pièce ou sur un présentoir. Après avoir placé un collier autour de mon cou attaché par une laisse, je dois me mettre à genou pour me présenter et me demander quels étaient mes souhaits.
« Une très grosse fessée peu importe l’instrument, sur toute la zone des fesses, entrefesses et même le sexe »
Maitresse approuve et m’indique le safeword, qui ferait qu’en situation d’inconfort tout s’arrêterait. Une fois ce temps passé, elle m’attache le sexe et les testicules pour me tenir à sa merci, puis commence les premières claques, une, deux, trois … Après un échauffement, mes fesses commencent à gouter les instruments qui sont sur le présentoir. Choisi avec délicatesse, ils s’abattent et mordent de plus en plus fort la peau qui s’empourprent à leur contact, fouet, paddle, cuillère en bois, martinet, badine, tout y passe. Elle me demande si on peut continuer, je réponds oui sans hésiter. Commence une phase de jeu ou après avoir noté des instruments et un nombre de coups sur de petits papiers, je dois les sélectionner pour recevoir la punition. 25 coups de fouets, 25 coups de paddle, tel était le menu, et en dessert mon choix pour l’ultime instrument avant la fin de séance. Maitresse prend une photo pour me montrer l’éclat de mes fesses, puis s’abat une dernière salve de paddle sur ce qui n’était pas rougeoyant. Après un verre d’eau, voici venu le temps de la fin du bon moment que l’on passe avec Maitresse.
Sa délicatesse verbale, son savoir être, sa fermeté fait de maitresse une personne très attachante et très conviviale.
Soumis Fafi
